Il y a cent ans et plus, lors des élections, il fallait compter avec des « télégraphes »
On appelait ainsi ceux qui s’étaient vu remettre un faux bulletin au nom d’une personne qui n’était pas en mesure de voter. Était « télégraphe » aussi celui qui votait sous le nom de quelqu’un d’autre.
Nous sommes en septembre 1888. Des élections se tiennent dans le comté de Montréal-Est. La journée est à peine commencée que « l’alarme est donnée ». Plusieurs télégraphes ont réussi à voter pour des morts ou des absents. Lire la suite