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Dans mon coin de pays, enfants, nous appelions cette plante « herbe à puce »

Fouillant dans Marie-Victorin (Flore laurentienne, 1964, p. 517s.), on découvre que ce n’est pas la variété « féroce ». Celle-ci est l’Apocyn à feuilles d’Androsème (Apocynum androsaemifolium, Spreading Dogbane), l’une des deux plantes québécoises connues sous ce nom populaire.

Le botaniste écrit : « L’action nocive de l’Apocyn, si elle est réelle, est beaucoup moins grave que celle du sumac vénéneux. La plupart des gens manient l’Apocyn sans en ressentir de fâcheux effets ».

Il n’empêche que j’ai cette plante à l’œil, présente depuis deux ans seulement. L’autre est déjà là depuis bien longtemps, mais seulement en bordure de la route.

Et j’ai bien identifié les nombreux endroits où pousse l’herbe à dinde, l’Achillée millefeuille (Achillea millefolium, Common Yarrow), la grande thaumaturge. Si nécessaire, je n’hésiterai pas à m’en servir.

2 commentaires Publier un commentaire
  1. Sylvain Lauzon #

    Merci beaucoup pour cette information sur l’Apocyn. Je veux simplement témoigner du fait que j’ai été plusieurs fois très douloureusent affecté par cette plante qui me fait horreur on comprend pourquoi. Le meilleur remède, c’est le pharmacien qui me l’a donné. Des anti-histaminiques, je crois.
    Sylvain Lauzon

    16 septembre 2019
  2. Jean Provencher #

    Merci à vous de votre commentaire. Il faut vraiment garder cette plante à l’œil.

    16 septembre 2019

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