Une découverte grâce à l’écrivain français François Bott
Rappelez-vous le billet du 23 février dernier. Il nous disait qu’Antonio Porchia était l’auteur d’un seul ouvrage, un recueil d’aphorismes qui exerçait la plus grande séduction.
Roger Caillois dit qu’il l’a découvert en Argentine durant les années 1940. « J’échangerais contre ces lignes tout ce que j’ai écrit. » Lire la suite