Skip to content

Archive pour

Vous ne le croirez jamais

La ruelle

Hier, je n’ai rien préparé pour ce site, paralysé que je fus, et gelé comme je le demeure. Il faut plutôt que je vous raconte ce qu’une poignée de citadines et citadins de Québec, en plein cœur de la ville, vient de vivre.

Lundi, le 15 janvier, une dame à la voix doucereuse, sorte de voix automatique, y allait d’un message dans 31 boîtes vocales de 31 logements de l’avenue Cartier et de la rue Crémazie Ouest, dans le quartier Montcalm à Québec. Lire la suite

L’hiver, la vie en forêt (second de deux billets)

Hier, nous rejoignions les forestiers dans leur lieu de travail. Les voici dans leur demeure, leur camp.

Quelle est la maison qui pourrait rivaliser d’hospitalité avec un de nos camps de chantier ? Quel est le voyageur attardé dans les bois, qui n’a pas été l’objet d’un cordial accueil de la part de ces hommes de chantier ? Lire la suite

À Québec, soudain l’hiver n’aide pas pour la récolte de la glace

Notre hiver exceptionnellement doux ne fait pas l’affaire des marchands de glace. Lire la suite

La nécessité des centres d’accueil

Les statistiques des refuges de nuit et des postes de police nous apprennent que 500 miséreux sont sans logement, toutes les nuits à Montréal. Lire la suite

Qui nous dira ce qu’il y a dans la tête de cette dame ?

Le « chant » de l’hiver vécu à Québec, et puis de la lune présente

Dans la presse québécoise, à l’occasion, trop rarement, un certain Jules S. Lesage, journaliste, y va d’un billet d’humeur, toujours bien ficelé.

Voici un extrait de son billet de janvier 1909. Lire la suite

L’hiver, la vie en forêt (Premier de deux billets)

Voici l’hiver arrivé,

Les rivières sont gelées,

C’est le temps d’aller au bois

Manger du lard et des pois ! Lire la suite

La patience, puis la joie venue d’un casse-tête

Anne-Marie m’écrit : Incroyable ! Heinz a trouvé le casse-tête très difficile et moi j’ai placé quelques sept morceaux… Nous avons pensé souvent à vous. Lire la suite

Quelle surprise magnifique !

Le petit oiseau de neiges lui-même ! Ils sont trois soudain à se présenter aux silos de tournesol noir sous le larmier de la galerie avant. Voilà longtemps que je l’avais vu franchement dans l’arche. Lire la suite

Il est bien rare que nous y pensons, mais il y a des vestiges en nous d’une très longue évolution

Pendant un temps immémorial d’abord, au cours de centaines de millions d’années, nous n’avions aucune identité propre, nous étions des êtres unicellulaires, sans noyau, à la vie non promise à la mort allant vers l’avant, mais aussi réversible. Bactérie était notre nom.

Et puis vint un moment incroyable, une symbiose initiale entre bactéries qui conduisit aux êtres à noyaux. Dorénavant, naîtraient des espèces et il devenait possible d’entrevoir une très grande diversité. Lire la suite