Toujours au Salon international du livre de Québec et la Tunisie
Avec Moncef Ghachem, on peut passer des heures à l’écouter tant le dépaysement est grand. Cet homme chaleureux habite près de Carthage à la si longue histoire. Soixante–dix ans. Il vient d’une famille rare en Tunisie, dit-il, celle de pêcheurs depuis quatre générations. Il a connu Aragon, traduit René Char et Guillevic, parle de Flaubert. Il nous entretient des divers accents des langues arabe et française. On le questionne et toujours il avance ses réponses avec douceur, quasi avec tendresse. Lire la suite