Dans la presse québécoise d’autrefois, l’intérêt pour le ciel ne se dément jamais
Entre deux nouvelles — l’annonce d’une partie de hockey contre les Comètes de Montréal et la visite d’un oculiste — on échappe simplement cette phrase :
Nos citadins sont à même, sitôt que la nuit arrive, d’admirer une splendide planète qui brille dans le firmament dans la direction du sud-ouest et qui disparaît vers les huit heures.
Le Canada français (Saint-Jean-sur-Richelieu), 22 janvier 1897.
Par la suite, il. me semble que nous rentrons dans nos maisons heureux.
Sans blague, nous pourrions imaginer une histoire du ciel québécois et la relation que nous entretenons avec le ciel. Quand donc s’y mettrons-nous ?
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