Écoutez, comment vous le cacher ?
Puisque vous êtes dans le coup depuis le départ. Et c’est bien d’abord de la faute de mon amour de fils si ce site internet — mon bonheur — existe. J’échange régulièrement avec lui des propos de toutes sortes. Je bénis tant les dieux qu’il soit là.
Savez-vous lire l’anglais d’abord ? Une histoire incroyable. Mon fils m’envoie cette adresse sans commentaire. Lancez-vous dans cette lecture avant d’aller plus loin.
Incroyable. Un message de nous vers l’Au-delà. Et qui nous revient !
Oups ! Où est le manuel d’instruction ? Quelqu’un s’est-il soucié d’en garder une copie ?
Que répondre à mon fils ?
Quelle histoire ! Y’a que nos moments pour vivre cela !
Et lui d’y aller de :
Je le répète. On vit à une époque extraordinaire.
Et je n’ai pu m’empêcher de lui envoyer ces mots :
T’as tellement raison, jésusdeplâtre !!! Jamais, jamais, jamais auparavant, il n’y a de traces historiques. Je serais bien mal en peine d’en trouver des racines quelque part, sinon à travers des rêves, genre ceux de Jules Verne, et même là je ne sais.
Et tant de gens passent à côté. Mon ami Kœstler, ce cher Arthur, dans son livre «The Act of creation»[autrement Le Cri d’Archimède, chez Calmann-Lévy], écrivait que 99% (ou quelque chose comme cela) naissent, vivent et meurent sans même s’en être rendu compte.
De là Jodorowsky qui s’acharne, même s’il va partir bientôt. Genre «Vous n’êtes pas tannés de passer à côté ! De ne pas vous rendre compte que la vie n’est pas là où vous êtes !»
Et mon amour de fils d’ajouter :
Au sujet des 99%, je cite souvent Péloquin : « Vous n’êtes pas écœurés de mourir bande de caves ! C’est assez ! »
L’illustration coiffe l’article du New York Times portant sur notre envoi vers l’Au-delà en 1978.
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