2 Jan
Le seul billet à son sujet que j’ai placé à ce jour sur mon site a eu beaucoup d’échos. Ce cher Charbonnier, personnage méconnu a encore de la parenté proche au Québec et en France. Salutations à vous, les Charbonnier, d’ici et de là-bas, de la fesse gauche comme de la droite. Lire la suite
Et peu à voir avec l’Après-Noël d’aujourd’hui !
C’est aujourd’hui que commence la grande semaine du commerce au détail. Les marchands, tout heureux de la façon dont marchent les affaires, ont à peine le temps d’adresser un sourire ou un rapide salut à l’ami qui passe. […] Lire la suite
Le temps n’est plus où les petits garçons se contentaient d’un tambour pour étrennes et les petites filles d’une poupée, ravis d’admiration les uns et les autres quand le papa généreux y ajoutait une arche de Noé.
Les jouets traditionnels ont évolué comme le reste en notre époque d’activité fiévreuse qui ne tolère aucune stabilité. Chaque nouvel an nous en apporte un choix nouveau, où l’ingéniosité de l’inventeur et l’habileté de l’ouvrier apparaissent de plus en plus admirables. […] Lire la suite
Sous le titre «Un phénomène vivant», La Patrie du lundi 19 novembre 1883 y va de cette annonce :
On exhibe en ce moment à Québec, chez une femme Renaud, vis-à-vis l’hôtel Windsor, rue St-Nicolas, au Palais, une fille nommée Pâquet qui n’aurait ni jambes, ni cuisses.
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Que peut-il donc s’être passé ?
Il s’est produit aujourd’hui, à une heure, un phénomène étrange qui a jeté dans les âmes timides la crainte et l’effroi.
Le ciel, qui avait été sombre toute la matinée et faisait mine de vouloir pleurer, s’est couvert tout à coup de nuages sinistres. L’obscurité devint complète, comme aux heures où la nuit tombe, et la ville fut plongée dans les ténèbres en plein jour, ses rues commerciales bondées de monde. Lire la suite
À la fin du 19e siècle, la publicité est bel et bien selle, du moins dans les journaux, le grand média de l’époque. Le 16 septembre 1885, le quotidien de Québec, Le Canadien, reprend du journal L’Événement le texte suivant, sous le titre L’utilité des annonces : Lire la suite
Le chat du libraire
Dans la vitrine, entre le café et les abricots, il n’est pas à vendre.
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Toutes griffes dehors, il ne m’autorise pas à tourner la page. Il n’a peut-être pas fini de lire.
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Le chat de son enfance, on l’appelle au fond de son lit pour en faire une bouillotte.
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1 Sep
Dépouillant la presse québécoise ancienne, il arrive parfois qu’on tombe sur de bien anciens mots de la langue française, des mots à l’agonie. Lire la suite
On n’a qu’à jeter les yeux, en passant, sur la vitrine de Jérémie Gobeille, marchand-tailleur, pour se convaincre que notre concitoyen entend ne pas rester en arrière dans la voie des améliorations. Lire la suite
Allons-y pour quelques faits puisés dans le grand fichier de plus de 800 pages que je nourris depuis 2004. Lire la suite
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