Skip to content

L’histoire se passe à Waterloo, dans La Haute-Yamaska

mercerie gervais et filsOn n’a qu’à jeter les yeux, en passant, sur la vitrine de Jérémie Gobeille, marchand-tailleur, pour se convaincre que notre concitoyen entend ne pas rester en arrière dans la voie des améliorations.

Les messieurs qui iront se faire habiller chez lui trouveront tout ce qu’il leur faut en fait de vêtements de dessous, de chemises, faux-cols, etc.

Le Journal de Waterloo, 1er septembre 1887.

L’illustration de la mercerie pour hommes J. S. Gervais—Fils à Rouyn, une photographie prise vers 1926-1927, est déposée à la Bibliothèque et Archives nationales du Québec à Rouyn-Noranda, Fonds Canadien National, cote : P213,P330.

P. S. Mercredi après-midi, le 30 août, à la Maison de la littérature à Québec, je participais à l’enregistrement d’une émission-télé d’une heure sur l’histoire de la vitrine au Québec. Une production de Toast Studio, à Montréal. Pour une série documentaire — Sacrés Objets — diffusée à TV5 Canada, à compter de septembre 2017. La maison montréalaise m’avait recruté grâce à la présence sur ce site interactif de nombreux billets sur l’histoire de la vitrine.

Merci beaucoup à Ania, qui les a mis sur cette piste, et à Véronique, la recherchiste, qui me sont bien chères, des anges.

No comments yet

Publier un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Vous pouvez utiliser des balises HTML de base dans votre commentaire.

S'abonner aux commentaires via RSS