Skip to content

Articles de la catégorie ‘Ça se passait en 1900’

À l’embouchure du Richelieu, la ville de Sorel est ensevelie sous la neige

Le correspondant du quotidien La Patrie est mécontent. Lire la suite

En 1908, on recourt encore au charivari

La nouvelle paraît dans le quotidien montréalais La Patrie, édition du 20 mars 1908.

À conserver pour l’histoire du climat

Depuis la publication du grand ouvrage de l’historien français Emmanuel Le Roy Ladurie [né en 1929], Histoire du climat depuis l’an mil, Paris, Flammarion, 1967, 381 pages, nous savons qu’il est possible de réfléchir à l’histoire du climat d’un lieu donné avec un certain nombre d’indices. Et ce travail est passionnant. Mais il faut être aux aguets et savoir repérer ces indices qui pourraient être utiles.

Lire la suite

Bonne fête nationale, chères Irlandaises, chers Irlandais (17 mars)

Retour en 1904.

Elle est bien calme, bien tranquille de ce temps-ci, notre vieille capitale. Lire la suite

Saint-Sauveur, ça vous dirait ?

Avis à ceux qui veulent une retraite fraîche et assurée pour la saison des vacances ou de l’été.

Rien de mieux que St-Sauveur, avec ses nombreux lacs et rivières, ses bois et ses habitants avenants et polis. Lire la suite

Le décès d’un centenaire à Saint-Césaire nous permet de savoir qu’il s’est trouvé là un personnage fort coloré

Voici le témoignage de monsieur Gagné. Le texte provient du correspondant de La Patrie dans ce village. Lire la suite

À la mi-mars, on cherche à s’informer de l’état des traverses sur le fleuve

Sont-elles toujours sécuritaires ?

Le quotidien La Patrie, par exemple, fait la une avec cette nouvelle. Lire la suite

Voici le temps des sucres

Les sucres, de Henri Julien, La Patrie, 1er mars 1902

Encore quelques jours et l’on « entaillera » dans le sud de la province.

Puis, à mesure que les souffles attiédis envahiront le nord, toute la région des érablières suivra l’exemple. Partout ce sera le bon « temps des sucres ». Lire la suite

« Immortelle »

Je songe à vous, mon âme, en passant près des tombes :

Vous la beauté de vivre et l’orgueil de fleurir,

Déesse à qui l’Hellade eût offert ses colombes.

Et je ne comprends pas que vous puissiez mourir. Lire la suite

Dans la page hebdomadaire à l’intention des enfants

La Patrie (Montréal), édition du 14 mars 1908.

Il faut deviner où se cache le père Rhault.