26 Mar
Nous sommes à Montréal.
Le jeune Antonio Pelletier, fils de M. Jean B. Pelletier, vient de faire une trouvaille peu ordinaire. Le 15 mars, ce bonhomme trouva dans l’épicerie de M. J. N. T. Laberge un gros insecte de la famille des orthoptères sauteurs.
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Les ventes traditionnelles du printemps donnent lieu à des scènes vraiment cocasses. Lire la suite
Le printemps nous est revenu avec le sourire de son soleil, mais ce sourire que les poètes ont accoutumé [sic] de chanter, nous en payons parfois durement la rançon. Lire la suite
À ce jour, depuis 14 ans, je n’ai trouvé que deux mentions de l’Annonciation dans la presse québécoise de 1880 à 1910.
L’une d’entre elles (Le Quotidien, de Lévis) dit que la fête n’est plus d’obligation à partir de 1894, et l’autre (Le Soleil, de Québec) affirme qu’avant d’être rayée, on nommait cette fête en ce pays « Notre-Dame de mars », et qu’habituellement elle nous faisait don de la dernière bordée de neige de l’hiver. Lire la suite
À peu près partout, elles sont inexistantes. Lire la suite
La bourrasque d’hier à Québec peut être inscrite parmi les meilleures de celles du même genre qui ont contribué à illustrer le mois de mars.
Neige épaisse et aveuglante, vent furibond, tout le tremblement !
C’est probablement le dernier effort de l’hiver agonisant. Lire la suite
Gyula Krûdy (1878-1933) est l’un de ceux-là. L’historien de la littérature hongroise, György Tverdota, qui enseigne à l’université de Miskolc, une ville très ancienne, à l’occupation humaine depuis 70 000 ans, affirme qu’au tournant du 20e siècle, alors que les écrivains hongrois ont le devoir de traiter de problèmes nationaux ou sociaux, « de situer explicitement leurs personnages dans une situation sociale, de souligner leur rôle dans la cité », Krûdy, lui, fait route à part. Lire la suite
L’ouverture de la saison des modes s’est effectuée hier au magasin bien connu du « Bon Marché ». On pouvait y admirer les tissus vaporeux et légers qui nous arrivent avec les chaudes journées du printemps. Lire la suite
La nouvelle parvient de Saint-Édouard de Napierville.
Mme Émilie Serres, épouse de feu Étienne Langlois, qui fut exilé lors de la rébellion 37-38, et dont le nom figure sur le monument des Patriotes au cimetière de la Côte des Neiges, est décédée, hier matin, à Laprairie. Elle était la sœur de M. Philéas Serres, marchand, et de M. Lucien Serres, cordonnier, tous deux demeurant en ce village.
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