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Articles de la catégorie ‘Portes, synanthropie, éthologie’

La porte secrète

Un jour, une critique de ce livre me tomba sous la main. On nous disait difficile à lire ce Ludwig Hohl (1904-1980), écrivain et penseur suisse de langue allemande. Le quatrième de couverture le spécifiait : Dans ce recueil de réflexions d’une haute exigence, on perçoit le cheminement d’un écrivain en marche envers soi-même. La lucidité, le pari de la raison, la foi en l’intelligence : «Il n’y a jamais de miracle. Le miracle est une catégorie de la connaissance». Lire la suite

Le début d’une autre étonnante histoire ?

L’année dernière, un bouquet de Verge d’or, poussé dans le Groseillier à maquereau, a vécu une véritable osmose avec l’arbuste. Alors que toutes les autres verges d’or étaient maintenant bel et bien flétries, celle-ci durait, «enfermée», «protégée» dans son groseillier. Lire la suite

Nous n’avons pas inventé la préhension

Bien jeunes sommes-nous dont les ancêtres n’ont que quelques millions d’années. Cet insecte vient de fort loin dans le temps, quelque 250 millions d’années. Nous l’évoquions avec l’Anax de juin. Lire la suite

Nous cherchons

Nous sommes quelques-uns dans la région de Québec à réfléchir sur la Nature et l’humain dans ce monde que nous habitons aujourd’hui. Nous cherchons. Et souhaitons faire connaître nos pistes de recherche. Lire la suite

Un papillon, magnifique, me regarde

Immobile. Durant de longs moments. Sans envie de s’envoler. Que perçoit-il ? Est-il aussi intrigué devant moi que je le suis devant lui ? Qu’est-ce donc qui le retient ? Lire la suite

Comment dire le plaisir de la présence de la piéride ?

Nul papillon ne symbolise mieux le bonheur de vivre que celle-ci. La solitude ne pèse vraiment pas avec elle. Lire la suite

Quelqu’un se prépare à naître

Et commence sans doute déjà à intégrer des informations, à développer une «culture», une compréhension du monde qui lui sera propre. Début du voyage.

Des bouteilles à la mer

Un jour, mon fils Sébastien et moi, pendant de nombreux mois, hiver comme été, dans les glaces comme dans l’eau vive, de 1974 à 1976, il me semble bien, avons lancé, parfois avec des amis, des bouteilles dans le fleuve, là où se trouve aujourd’hui le Quai des Cageux, à Québec, à l’époque le quai de la Irving qui ne payait vraiment pas de mine. Quelque 450 unités ont ainsi quitté Québec. Lire la suite

Étrangeté

La répétition rituelle, la routine quotidienne, étonnamment, peut permettre d’échapper au temps linéaire, au temps qui passe, de retrouver l’éternité. Dans la durée éphémère, se cache le temps éternel.

Écoutez, comment vous le cacher ?

Puisque vous êtes dans le coup depuis le départ. Et c’est bien d’abord de la faute de mon amour de fils si ce site internet — mon bonheur — existe. J’échange régulièrement avec lui des propos de toutes sortes. Je bénis tant les dieux qu’il soit là.

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