«L’herbe des champs»
La pousse de l’herbe dans les champs qui ont été découverts, et conséquemment non protégés par la neige, pendant la plus grande partie de l’hiver, paraît en retard cette année. Lire la suite
20 Avr
La pousse de l’herbe dans les champs qui ont été découverts, et conséquemment non protégés par la neige, pendant la plus grande partie de l’hiver, paraît en retard cette année. Lire la suite
Les cultivateurs disent que les champs et les prairies paraissent en excellent état, grâce à l’épaisseur de la neige qui a protégé la terre pendant l’hiver. Lire la suite
Voilà ce que chante Francoise (Robertine Barry) dans sa Chronique du lundi, le 22 avril 1895.
J’écris près de ma fenêtre ouverte.
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Le printemps est langoureux et froid, nous avons encore les chemins d’hiver.
Tout de même, ne nous plaignons pas, l’hiver a été si beau. Le fleuve est complètement libre devant la ville. Lire la suite
Il y a un peu plus de 100 ans, quelques grands journaux québécois ont des correspondants à Paris, qui y vont d’un billet une fois la semaine. Lire la suite
5 Avr
Pas plus tard qu’il y a deux jours, à moins 15 la nuit, l’un d’entre eux disait que nous vivions des «températures extrêmes». Allez donc. Il faut s’informer un brin sur l’histoire du climat québécois pour apprendre à être bien prudent avant de recourir au mot «extrême»… et en avril.
La neige, dites-vous ? Il en est de même pour elle. Voyez ce simple paragraphe de l’hebdomadaire Le Sorelois du 7 avril 1885. Lire la suite
Dans la métropole, le correspondant de l’hebdomadaire Le Canada français, de Saint-Jean-sur-Richelieu, trouve les dames de Montréal follement belles. Et il fait la première page avec ce texte.
Dissipé, enfin, le brouillard quasi-londonien qui nous enveloppait depuis bientôt six jours. Ce n’est pas malheureux, car je commençais à me sentir tout bête, comme envahi par le spleen et je n’aurais fait que broyer du noir, dans cette lettre. De partout suintait avec l’humide buée le plus mortel ennui. Lire la suite
Les dernières pluies ont presque enlevé le peu de neige qui nous restait. Les chemins sont dans un état affreux. Les voitures chargées traversent encore sur le fleuve. La glace du Richelieu dans le port commence à être dangereuse. Lire la suite
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