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Articles de la catégorie ‘La nuit, le soir’

Où l’amour s’explique à l’amour

Mon métier m’a très tôt mené chez les bouquinistes. J’y ai retrouvé des amis. Des complices. Des hommes de grande culture aussi. Je ne pourrais plus me passer d’eux. Lire la suite

L’été des Sauvages

Il est bien tard, la première semaine de novembre, pour parler de l’été des Indiens. Même qu’il n’est pas rare que les premières neiges nous arrivent à ce temps-ci de l’année. Mais voilà que paraît dans L’écho des Bois-Francs du 4 novembre 1899 un long texte sur le sujet. Lire la suite

Le spleen de novembre

À Sainte-Julie de Somerset, le correspondant de L’Écho des Bois-Francs est gagné par la déprime de novembre. Lire la suite

Pour une nouvelle histoire de Québec (2/3)

Je vous disais hier avoir ouvert, samedi dernier, le 13, le premier salon des 13 sociétés d’histoire de Québec avec une conférence sur la question «Où s’en va l’histoire ?» Lire la suite

Un tremblement de terre chez-vous !

Bien nouveau ce qu’est s’est passé cette nuit sur mon site. À 3 heures, je me lève pour boire un verre d’eau. Que vois-je ? Lire la suite

Aller entendre les loups pleurer, la nuit…

En août 1903, le journaliste Jules Griffard part à la découverte de la rivière La Lièvre, dans la région de l’Outaouais. À Val-des-Bois, il s’arrête chez M. Bertin, un Français qui y a pris souche. Et, bientôt, ils causent de loups. Lire la suite

Nous sommes là, nous aussi !

Je feuillette les pages des journaux québécois de 1900 depuis un certain nombre d’années. À vrai dire, un peu plus de 8 ans. J’évite de vous entretenir des rois, des empereurs et des personnages politiques en général. Lire la suite

Les lanternes-trappes

Voilà fort longtemps que la bête humaine se croit géniale dans ses interventions à l’égard de la Nature. Un bon matin, l’un d’entre nous se lève et entreprend de nous convaincre qu’il a inventé le bouton à quatre trous. Lire la suite

Joliette, une petite ville tranquille ? Vous croyez ?

Pas certain. Le 21 septembre 1903, des citoyens en ont assez et adressent une plainte au maire et aux conseillers. L’Étoile du Nord publie leur réclamation trois jours plus tard. Lire la suite

Une histoire triste

En 1900, il y a bien sept ou huit théâtres à Montréal. Et le Théâtre des nouveautés, propriété de Gonzalve Désaulniers et sous la direction artistique de Valéry Heurion, un acteur formé au Conservatoire de Paris, est le seul à proposer du grand répertoire : Molière, Racine, Corneille, Shakespeare. Lire la suite