Où l’amour s’explique à l’amour
Mon métier m’a très tôt mené chez les bouquinistes. J’y ai retrouvé des amis. Des complices. Des hommes de grande culture aussi. Je ne pourrais plus me passer d’eux. Lire la suite
7 Nov
Mon métier m’a très tôt mené chez les bouquinistes. J’y ai retrouvé des amis. Des complices. Des hommes de grande culture aussi. Je ne pourrais plus me passer d’eux. Lire la suite
Il est bien tard, la première semaine de novembre, pour parler de l’été des Indiens. Même qu’il n’est pas rare que les premières neiges nous arrivent à ce temps-ci de l’année. Mais voilà que paraît dans L’écho des Bois-Francs du 4 novembre 1899 un long texte sur le sujet. Lire la suite
1 Nov
À Sainte-Julie de Somerset, le correspondant de L’Écho des Bois-Francs est gagné par la déprime de novembre. Lire la suite
17 Oct
Je vous disais hier avoir ouvert, samedi dernier, le 13, le premier salon des 13 sociétés d’histoire de Québec avec une conférence sur la question «Où s’en va l’histoire ?» Lire la suite
10 Oct
Bien nouveau ce qu’est s’est passé cette nuit sur mon site. À 3 heures, je me lève pour boire un verre d’eau. Que vois-je ? Lire la suite
6 Oct
En août 1903, le journaliste Jules Griffard part à la découverte de la rivière La Lièvre, dans la région de l’Outaouais. À Val-des-Bois, il s’arrête chez M. Bertin, un Français qui y a pris souche. Et, bientôt, ils causent de loups. Lire la suite
1 Oct
Je feuillette les pages des journaux québécois de 1900 depuis un certain nombre d’années. À vrai dire, un peu plus de 8 ans. J’évite de vous entretenir des rois, des empereurs et des personnages politiques en général. Lire la suite
Voilà fort longtemps que la bête humaine se croit géniale dans ses interventions à l’égard de la Nature. Un bon matin, l’un d’entre nous se lève et entreprend de nous convaincre qu’il a inventé le bouton à quatre trous. Lire la suite
Pas certain. Le 21 septembre 1903, des citoyens en ont assez et adressent une plainte au maire et aux conseillers. L’Étoile du Nord publie leur réclamation trois jours plus tard. Lire la suite
En 1900, il y a bien sept ou huit théâtres à Montréal. Et le Théâtre des nouveautés, propriété de Gonzalve Désaulniers et sous la direction artistique de Valéry Heurion, un acteur formé au Conservatoire de Paris, est le seul à proposer du grand répertoire : Molière, Racine, Corneille, Shakespeare. Lire la suite
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