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Articles de la catégorie ‘La nuit, le soir’

« Battement »

Pas d’aile, pas d’oiseau, pas de vent, mais la nuit,

Rien que le battement d’une absence de bruit. Lire la suite

Deux poèmes brûlants de Reine Malouin

Dans son premier recueil de poésie, Les Murmures, proposé à Paris sous forme de manuscrit en 1936 et publié à compte d’auteur, trois ans plus tard, la poète originaire de Québec, Reine Malouin, née Voiselle, (1898-1976), a reconnu que certains de ses poèmes ont été trempés dans l’eau bénite. Mais pas tous, pas tous. En voici deux plus audacieux. Lire la suite

Patiner au clair de lune quand la Yamaska est sortie de son lit et que tous les champs sont transformés en une immense patinoire, ça vous dirait ?

Champ de Saint-Hugues

 

Il suffit de gagner Saint-Hugues, en Montérégie. On en profite abondamment. Lire la suite

Incontestablement, certains des plus beaux textes sur le pays sont du grand Arthur Buies (1840-1901)

Arthur Buies, bien sûr

Ce journaliste à la fort belle plume aimait parcourir des régions moins connues du Québec. Il a traversé la Matapédia, a passé du temps dans Charlevoix. Le voici ici dans l’Outaouais supérieur, ému par l’immensité du Nord, terre pour des surhommes.

Vouloir peindre le Nord me semble demander un effort excessif, dont je me sens d’autant plus incapable que mes forces, lasses de s’être portées longtemps sur des objets divers, me secondent péniblement aujourd’hui que je leur fais appel pour une entreprise dont le succès ferait mon orgueil et ma gloire. Lire la suite

L’humaniste, naturaliste et entomologiste Jean-Henri Fabre (1823-1915) rend hommage au crapaud. Pour les jeunes

Le crapaud est inoffensif, mais ce n’est pas assez pour le recommander à notre attention. C’est encore un auxiliaire d’un grand mérite, un glouton avaleur de limaces, de scarabées, de larves et de toute vermine. Lire la suite

À Montréal, profitant de la nuit étoilée

Un gardien de nuit dit avoir vu un météore au firmament, vendredi soir.

La Patrie (Montréal), 21 mars 1881.

Le printemps de Charles d’Orléans n’était pas celui de ce soir

Ici, le vent chante par à-coups.

On dirait bien qu’à la fenêtre, il se plaint pour pouvoir entrer dormir.

 

Le Canada (Montréal) 21 mars 1905.

Un enfant aux sucres rêvant d’être un héros de Fenimore Cooper !

Le premier sirop d’érable vient de faire son apparition et, pour peu que le soleil s’en mêle, ce sera d’ici peu de jours, dans toutes les érablières, un ruissellement continu d’eau de sucre, dans les « cassots » fixés aux « goudrelles » des arbres. Lire la suite

Cela se passe dans les villes, à Montréal comme ailleurs

Que faire ? Lire la suite

Approcher le discours premier

Pour connaître la venue de nos premières fois, de nos premières croyances écrites.

Maintenant, je vais aborder un autre sujet et te montrer la route à suivre… Un jour, dit-on, Pythagore qui passait s’apitoya sur un chien qu’on battait et s’écria : « Arrête, c’est l’âme d’un ami que j’entends gémir sous les coups de bâton ».
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