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Articles de la catégorie ‘La nuit, le soir’

Extrait de L’Opinion publique (Montréal), édition du 16 septembre 1880

L’historien Benjamin Sulte raconte l’hiver québécois aux Français de France (second de trois billets)

Retour à ce texte d’abord publié à Paris dans la Revue du Monde latin. Nous voilà bien en hiver, Sulte a lancé le propos. Et il est heureux, il se fait vendeur.

À mesure que la neige tombe, la circulation des voitures la plombe sur les routes. Elle forme une couche ferme, où les traîneaux courent avec une facilité incroyable. Dans les champs, elle reste molle. Lire la suite

Enfin une carte du ciel au moyen de la photographie !

Et l’appel est lancé depuis Paris. Lire la suite

L’historien Benjamin Sulte raconte l’hiver québécois aux Français de France (premier de trois billets)

Le quotidien montréalais La Patrie reprend un article de Sulte paru dans la Revue du Monde latin, publié à Paris. Lire la suite

Aller-retour depuis Lévis, ça vous dirait ?

Faire le tour de l’île d’Orléans par cette soirée magnifique.

Le Canadien (Québec), 8 septembre 1886.

« Nous ne vivons pas seulement dans l’Univers. L’Univers vit à l’intérieur de nous »

Au cours de l’été, le quotidien français Le Monde a réservé beaucoup de ses pages à des questions débattues en ce moment. Dans la série « Les best-sellers à l’étranger », par exemple, Corine Lesnes, correspondante du journal à San Francisco, a rencontré Neil deGrasse Tyson, directeur du planétarium Hayden de New York, qui vient de publier chez Belin Petite excursion dans le cosmos. Lire la suite

Le grand plaisir de la lecture au lit !

À Montréal, on applaudit l’éclairage de la ville à l’électricité

Grande joie à Montréal. Lire la suite

Louiseville, à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Trois-Rivières, vit dans le noir

On se plaint beaucoup à Louiseville de ce que la ville n’est pas éclairée du tout la nuit. Lire la suite

Voici un bien étonnant poète

On dirait qu’il déconstruit et construit tout à la fois. Au début, on se demande dans l’œuvre de qui on est tombé, ne reconnaissant pas le patron classique d’une démarche poétique. Suis-je bien là ? Est-il bien là ? Où allons-nous en quelques mots ?

Roberto Juarroz, son nom. Poète argentin (1925-1995), dont toute l’œuvre a pour titre, unique, « Poesia vertical » [Poésie verticale]. Il n’a jamais donné de titre à ses poèmes, seul varie le numéro d’ordre. Lire la suite