Skip to content

Articles de la catégorie ‘La nuit, le soir’

Cinq jeunes à l’aventure

Nous sommes le long du chenal nord du fleuve Saint-Laurent, entre la côte de Beaupré et l’île d’Orléans. Lire la suite

Du numéro de Noël du journal Le Soleil

Le vieux sonneur monte au clocher

Jusqu’aux meurtrières béantes

Où les corneilles vont nicher Lire la suite

Un écrivain épris de la part sauvage de la nature québécoise

Voilà deux semaines, je rencontrais chez un bouquiniste un jeune lecteur à la véritable recherche d’Arthur Buies (1840-1901). Il connaissait son journal satirique, La Lanterne, publié de septembre 1868 à mars 1869, mais il espérait quelque chose de plus consistant. Lire la suite

Qui se souvient du village de Sarosto ?

Il s’agit d’un des premiers lieux colonisés dans les terres derrière Lévis, au sud du fleuve Saint-Laurent. À vrai dire, c’était le Troisième Rang du fief de Saint-Vilmay, entre le rang Coutance, le deuxième, et le rang Brise-Culotte, le quatrième. Lire la suite

Un quotidien montréalais entretient ses lecteurs de la visite du « bolide »

Un phénomène météorologique s’est produit, vers onze heures et demie, mercredi soir. Lire la suite

Enfin d’autres nouvelles du bolide

Rappelez-vous cette météorite qui avait été aperçue le soir, tard, le 7 décembre 1898. Lire la suite

Un spectacle céleste au Québec

À quand une histoire du ciel ? Lire la suite

Comment donc en connaître un peu sur l’histoire de l’Univers ?

Du moins à partir  du coin de l’univers où nous sommes ?

Dans son livre La Plénitude du vide, l’astrophysicien Trinh Xuan Thuan explique que nous le pouvons grâce à la lumière. Extrait.

Comment observer l’univers dans son passé ? Grâce à la lumière : le fait qu’elle ne se propage pas instantanément nous permet de remonter le temps. Bien qu’elle possède la plus grande vitesse possible (trois cent mille kilomètres par seconde), à l’échelle de l’univers elle se déplace à l’allure d’une tortue. Lire la suite

« Plaisirs d’enfants, déplaisir des passants »

La température s’est encore adoucie ce matin.

Il tombe encore quelques flocons de neige mais chargés d’eau et qui menacent de se changer en pluie, ce qui serait vraiment malheureux, car il n’y en a déjà pas trop pour rendre les chemins praticables aux voitures.

Les gamins ne se possèdent pas de joie. Ils gambadent à qui mieux mieux dans les rues. Lire la suite

Il y a haïku et renku

Dans un renku, chaque maillon naît en réponse à celui qui l’a précédé, en même temps qu’il formule un peu obliquement une question à laquelle le suivant devra répondre à son tour.

Ainsi définit-on le renku sur le quatrième de couverture du livre de Francine Chicoine et Robert Melançon, Sur la table vitrée. Pendant plus de deux ans, madame Chicoine, à Baie-Comeau, et monsieur Melançon, à Montréal, s’échangent ainsi des maillons. Lire la suite