Ah, Sainte-Pétronille, sur l’île d’Orléans !
Dans Le Monde illustré du 17 mars 1894, on aime bien parler de cet endroit comme du «Bout de l’Isle». L’auteur du texte n’a pas signé. Lire la suite
5 Mar
Dans Le Monde illustré du 17 mars 1894, on aime bien parler de cet endroit comme du «Bout de l’Isle». L’auteur du texte n’a pas signé. Lire la suite
Dans la presse ancienne, à la fin du 19e siècle et au début du 20e, je vois défiler bien des gens, mais jamais n’ai-je aperçu une tribu amérindienne. Lire la suite
Marie Vallerand, chroniqueuse culturelle à Québec à travers ses nombreux engagements, a vu mille et un spectacles au cours de sa carrière. Lire la suite
Hier, extrait du quotidien montréalais L’Étendard du 27 décembre 1890, Georges Pétilleau, professeur de français à Londres, décrivait la fête de Noël en Angleterre. Voici la suite. Lire la suite
Avant-dernier dimanche d’octobre, le 21 de l’an 1906, venez-vous au Readascope, cet après-midi ? Les représentations commencent aujourd’hui. C’est vrai que nous aurons tout l’hiver pour y aller. Mais j’aimerais tant. Lire la suite
Le journal montréalais Le Bulletin, du 16 octobre 1904, l’un des très rares à paraître le dimanche, perçoit une évolution dans les comédies au théâtre. Plutôt que le lit, on n’en aurait plus désormais que pour la baignoire. Lire la suite
Un des hauts lieux du bonheur à Québec est la Terrasse Dufferin. Un jour, nul doute qu’il faudra écrire l’histoire de ce lieu, qui donne à voir l’immensité elle-même. Lire la suite
18 Sep
Il y a longtemps, mon père, homme bien peu bavard, échappait souvent « Les enfants, Home, Sweet Home », sans aucune forme d’explication. Lire la suite
En 1900, il y a bien sept ou huit théâtres à Montréal. Et le Théâtre des nouveautés, propriété de Gonzalve Désaulniers et sous la direction artistique de Valéry Heurion, un acteur formé au Conservatoire de Paris, est le seul à proposer du grand répertoire : Molière, Racine, Corneille, Shakespeare. Lire la suite
Peut-être vous souvenez-vous qu’au printemps 1899, devant le grand nombre de plaintes de spectateurs, les propriétaires de théâtre en étaient venus à défendre le port du grand chapeau en pleine salle de spectacle.
Mais même si les femmes à haut chapeau acceptent de se décoiffer, apparence que le problème peut être tout autre maintenant. Sous le titre Terrible conséquence de l’obligation pour les femmes de se décoiffer, La Patrie du 12 juillet 1905 raconte cette histoire. Lire la suite
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