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Articles de la catégorie ‘Sculpture, sculpteurs’

La mer réclame son dû

Le correspondant de l’hebdomadaire de Chicoutimi, La Défense, à La Malbaie, dans Charlevoix, sent le besoin, le 10 novembre 1898, de rappeler l’automne tragique vécu dans le grand estuaire du fleuve Saint-Laurent. Lire la suite

« Bêtes puantes »

Un beau manteau ou un magnifique chapeau de bête puante, vous aimeriez? Le 16 novembre 1894, un marchand de fourrure de Saint-Jean-Sur-Richelieu s’annonce dans l’hebdo Le Franco-Canadien. Lire la suite

Chers chasseurs

Extrait de La Gazette de Berthier, du vendredi 16 novembre 1906. Lire la suite

Le sculpteur Louis-Philippe Hébert prend la parole

Qui travaillerait sur le début des arts au Québec aurait besoin de cette pièce d’archives. Lire la suite

Décès de Zagui

Comme dans tous les pays du monde, la société québécoise a toujours compté un certain nombre d’Originaux et détraqués, selon le titre du livre de l’écrivain Louis Fréchette. En voici un qui nous quitte. Lire la suite

L’automne rend bavard

Un jour, il nous faudra bien une anthologie de textes sur l’automne québécois. Il fait tant parler. Paulette Collet a déjà publié L’hiver dans le roman canadien-français (Presses de l’Université Laval, 1965). Lire la suite

Une belle sortie, un monde d’oiseaux

Autre journée magnifique. Pourquoi ne pas pousser une pointe vers Saint-Joachim, en bordure du cap Tourmente, à une cinquantaine de kilomètres en aval de Québec ? Aller voir Madeleine Dubreuil et Louis Matte. Voilà un moment que je les ai vus. Lire la suite

Disparition d’un homme à la vie étonnante

Il est surprenant de constater que personne à ce jour ne se soit attaqué à une solide biographie d’Honoré Beaugrand. Sa vie ne manque pourtant pas d’intérêt et il y aurait de nombreuses avenues, fort originales, à documenter. Lire la suite

Simplement, en ce jour

N’est-ce pas la saison d’ailleurs ? Beaucoup aimeraient les voir au four en ce moment, ces outardes, en train de cuire.

Des œuvres d’Adalbert Thibault.

Zotique le héros

En 1900, la ville rend le cheval nerveux. J’en parlais en janvier dernier. Soudain, pour une raison ou une autre, la bête part à la belle épouvante. Lire la suite