10 Jan
Héraclite l’Obscur
Nous voilà dans la réflexion d’un philosophe grec d’il y a près de 2 600 ans. L’homme s’est beaucoup amusé à déstabiliser, invitant ainsi à la marche en avant.
Le temps est un enfant qui pousse des pions : royauté d’un enfant.
Si toutes choses devenaient fumée, on les discernerait avec les narines.
Les chercheurs d’or remuent beaucoup de terre et trouve peu d’or. Lire la suite
Le pimbina sous le soleil en août
Je suis à traverser, de White, La Figure du dehors, étonnant ouvrage. Vient une page où il échappe ce mot de Bataille.
19 Août
Depuis des années qu’il nous propose des constats, des phrases incroyables, tellement rares dans d’autre journaux, du moins de langue française. Lire la suite
Ma passion pour l’innocence et la simplicité des bêtes.
Allez, prenons un peu de recul, sortons de la banalité de nos jours.
Immense et belle réflexion sur le temps et notre grand destin commun à tout ce qui est. Lire la suite
Les anciens Chinois, les taoïstes d’autrefois, avaient un mot — chên yun — pour désigner le rythme spirituel qui résulte du contact direct avec la nature. Lire la suite
Dans toute symétrie établie peut surgir une rupture partielle et non accidentelle qui tend à compliquer l’équilibre formé. Une telle rupture est proprement une dissymétrie. Lire la suite
7 Juin
Ainsi s’écrie un Anglophone de la métropole Et le quotidien La Patrie reprend son propos le 10 juin 1910. Lire la suite
27 Mai
Voilà longtemps que je prête attention aux publications de cet homme. Il est passé à l’histoire pour son classique : L’Homme et le sacré, publié en 1939, sur une théorie de la fête.
Mais ce que j’aime particulièrement de Roger Caillois, ce sont ses réflexions sur le vécu à partir des pierres. Lire la suite
Au Québec, de 1880 à 1910, on n’évoque jamais le nom de Charles Darwin, du moins dans tous ces journaux que j’ai dépouillés depuis 2004. On baigne dans l’âge d’or du créationnisme le long du Saint-Laurent, et il serait absolument blasphématoire de célébrer le travail de Darwin. Les horizons sont fermés. Une seule fois, en 1882, La Patrie, je crois, évoque en dix mots son décès et sa mise en terre, se gardant bien d’allonger le propos. Lire la suite
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