Il faudrait revenir à l’écrivain français Jean Giono (1895-1970)
Son œuvre est diverse et j’aime bien celle qui a pour cadre le monde paysan provençal.
Extrait de Rondeur des jours, son propos sur la marche. Lire la suite
17 Juil
Son œuvre est diverse et j’aime bien celle qui a pour cadre le monde paysan provençal.
Extrait de Rondeur des jours, son propos sur la marche. Lire la suite
16 Juil
Beau texte depuis Saint-Hilaire, en Montérégie.
Huit heures.
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Lorus et Margery Milne ont publié en américain d’abord The Ages of life en 1968, traduit et paru deux ans plus tard en français chez Stock, Les âges de la vie. C’est un ouvrage étonnant sur l’éveil de la vie, les manifestations de la croissance, et la vieillesse.
Avant de nous mener de surprise en surprise, le livre ouvre par un calme prologue. Extrait. Lire la suite
La nouvelle provient de Montréal.
Hier soir à 6 heures, on a trouvé un enfant nouveau-né à la porte du Bon-Pasteur. Il a été transporté chez les Sœurs Grises.
La Patrie (Montréal), 15 juillet 1890.
J’ai d’abord connu Jacques Brosse (1922-2008), grâce à son livre L’homme dans les bois, publié chez Stock/nature en 1976. Comme le dit le quatrième de couverture : Retiré au fond des bois, Jacques Brosse, pendant un an, a voulu n’être que cela, une conscience émerveillée. On y trouve de bien beaux passages ; il faudra y revenir.
La véritable amitié est aussi sage que tendre.
Il n’existe aucune institution sur terre que l’amitié ait établie. Aucune religion ne l’enseigne. Aucun texte sacré ne contient ses préceptes. Elle ne possède aucun temple, pas même une simple colonne isolée.
Qui entend les poissons quand ils pleurent ?
Notre vie la plus vraie, c’est quand nous évoluons dans nos rêves éveillés. Lire la suite
Mercredi dernier, le 5 juillet, dans la Cour des Invalides, à Paris, la France rendait hommage à Simone Veil (1927-2017), qui connut à seize ans la Shoah, déportée à Auschwitz-Birkenau où elle perd son père, sa mère et son frère. Lire la suite
Elles furent de bien grandes années, où beaucoup nous était proposé. Mais comment pouvions-nous demeurer critique faute de recul, comment ne pas tout gober, comment séparer le « bon grain » des « mauvaises herbes » ?
Ainsi il s’est écrit des textes incroyables chantant sans nuances la grandeur de l’être humain que l’on rendait tout à fait unique, des textes qu’il serait gênant de répéter. Lire la suite
Un fil à la patte vous en empêche ? Allez, que le temps d’un chemin. Henry David Thoreau nous le propose. Lire la suite
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