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Articles de la catégorie ‘Le diable’

Quelle soirée de Noël du côté de Lévis !

Le quotidien de Québec, Le Canadien, du 30 décembre 1889, raconte. Lire la suite

Des nouvelles des Dagg !

 

Qu’arrive-t-il finalement chez les Dagg, dans Pontiac ? Vous vous souvenez, quand nous les avons quittés, ils étaient plus d’une vingtaine à habiter la maison hantée où se manifestait on ne sait qui. Lire la suite

Les temps changent (seconde partie)

Dans l’article d’hier sur les temps qui changent, Benjamin Sulte se montrait fort heureux d’être de ce monde à la fin du 19e siècle et de vivre «baignant» dans des progrès récents. Lire la suite

La superstition dans les campagnes

Hier, après avoir passé une soirée d’hiver à Québec, voici qu’aujourd’hui, Arthur Buies nous  entretient d’un sujet étrange. Bien rarement parle-t-on de la superstition dans les campagnes. Buies ici s’y attaque. Lire la suite

Une colère d’Albert Ferland

Peu me chaut d’utiliser le mot «diable». Mais, manifestement, je viens de trouver chaussure à mon pied. Le poète Albert Ferland (1872-1943) dénonce les gens de mon acabit. Il n’en peut plus. Je me console cependant; mon père, homme d’église s’il en fut, pouvait dire de quelqu’un «c’est un bon diable» et n’avait vraiment pas l’impression alors de manquer à la charité, bien au contraire. Lire la suite

« Un vieux cantique »

«Souvenir du vieux temps» sous-titre L’Étendard du 16 décembre 1890. Moi-même, ça ne me dit rien. Mais allons-y donc. Lire la suite

Du théâtre pour enfants sur la Terrasse !

Un des hauts lieux du bonheur à Québec est la Terrasse Dufferin. Un jour, nul doute qu’il faudra écrire l’histoire de ce lieu, qui donne à voir l’immensité elle-même. Lire la suite

Sur ma route, soudain…

une page de l’album sur l’histoire du Paradis terrestre. Vous vous rappelez de la description de John Milton ? Lire la suite

Paradise lost, de John Milton, à Québec !

Né à Londres en 1608, année de la fondation de la ville de Québec, John Milton (1608-1674) commence à écrire des poèmes au moment où il étudie à l’université Cambridge la religion, la philosophie naturelle et la littérature. Pierre Messiaen note que tous ses poèmes manifestent la double nature qu’il ne cessera de porter en lui, l’artiste sensuel issu de la Renaissance, le puritain moralisant et combatif. Lire la suite