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Articles de la catégorie ‘La tendresse’

La tendresse, le soir venu

Et tout le charme, dirait-on, d’une image ancienne évanescente.

Suivez-vous toujours ?

N’ayez crainte, à tout moment, vous pouvez descendre du train, le temps de la distance empruntée.

Voilà bien 40 ans que je vais à travers champs et à travers bois. Campagne et ville aussi. Je cherche le secret. Lire la suite

Toujours au Salon international du livre de Québec et la Tunisie

Avec Moncef Ghachem, on peut passer des heures à l’écouter tant le dépaysement est grand. Cet homme chaleureux habite près de Carthage à la si longue histoire. Soixante–dix ans. Il vient d’une famille rare en Tunisie, dit-il, celle de pêcheurs depuis quatre générations. Il a connu Aragon, traduit René Char et Guillevic, parle de Flaubert. Il nous entretient des divers accents des langues arabe et française. On le questionne et toujours il avance ses réponses avec douceur, quasi avec tendresse. Lire la suite

Au printemps, à la fin du 19e siècle et au début du 20e, à Montréal, on s’inquiète du comportement du fleuve Saint-Laurent

Quelles seront ses humeurs ?

Et on se rappelle la grande inondation de 1886. Lire la suite

Qui a souvenance du journaliste et romancier Jean-Charles Harvey (1891-1967) ?

D’abord, comme tous les Harvey du monde, il vient de Charlevoix. Et il a tant aimé la polémique. On eut dit qu’il portait toujours avec lui une boîte d’allumettes pour mettre le feu à chaque fois que l’occasion se présentait. Il trouvait son temps et les siens avachis, et dangereusement de droite. Lire la suite

« L’âme des Logis »

Ce qui fait l’âme des logis,

Ce sont les souvenirs de joie,

Les échos, les parfums surgis

Devant le foyer qui rougeoie; Lire la suite

Dans la série « Phrases magnifiques et imparables » (1)

Nous connaissons le roman, l’essai, la nouvelle, le poème, le haïku. Tous ces genres ont leur reconnaissance. Mais qu’arrive-t-il des simples phrases, magnifiques et imparables ? Lire la suite

Nous nous sommes reconnus immédiatement

«À mon amie. Avant que nous rentrions…»

 

Je ne connaissais guère Francis Jammes (1868-1938) originaire de Tournay, dans les Hautes-Pyrénées. Mon ami Jean vient de me le faire découvrir. Quel poète ! Un bonheur de le lire. Sa langue est si simple et tellement sentie. Et baignée dans tant de respect et de tendresse. En voici une idée : Lire la suite

Il faut veiller

Parmi les chemins

Oublier absolument l’idée de passer sa vie les deux pieds sur le pouf. Jeter ce dernier aux vidanges. Cesser de piétiner au premier degré des choses. Savoir s’élever au deuxième. Aller voir. Observer. Être attentif. La vérité vraie se cache sur ce palier.

Dans les jours, les mois, les années, il y a autre chose que le simple écoulement du temps.

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