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Articles de la catégorie ‘La langue française’

À la fin du 19e siècle, la langue française est la langue commune en Occident

Le quotidien montréalais La Patrie fait sa une d’un article du New York Sun. Lire la suite

À la gogaille

Celle de droite est plus sauvage que l’autre. C’est bien celle de gauche qui l’a entraînée. Lire la suite

Et voilà qu’il tombe maintenant des peaux de lièvre

Pour la signification, voir les commentaires attachés à ce billet. Lire la suite

Nouveaux aphorismes d’Antonio Porchia (1885 ou 1886-1968)

Le personnage n’est guère connu. Né en Italie, il commence à travailler à l’âge de 14 ans, nous dit sa page Wikipédia. En 1911, deux ans après le décès de son père, la famille déménage en Argentine. Lire la suite

Le poète et la terre, selon le penseur contemporain Kenneth White

Extrait de son livre La Figure du dehors, Grasset et Fasquelle, 1978, p. 48. Lire la suite

La voici, l’hivernante

Vers onze heures et demie hier matin, la neige a commencé à tomber pour de bon.

Il n’y a pas de doute que cette fois nous allons avoir l’hivernante. Lire la suite

« La langue française »

Extrait du Standard de Chicago sur la langue française québécoise. Le quotidien de Québec Le Canadien dit avoir « le plus grand plaisir » à reproduire ce texte. Lire la suite

Vocabulaire des vieux conteurs québécois du 19e siècle lié aux éléments de la nature (Second billet de deux)

En 1908, l’historien, archiviste et journaliste Édouard-Zotique Massicotte publie une anthologie de 24 contes et légendes traditionnelles. À la fin de l’ouvrage, il sent le besoin d’expliquer plusieurs mots. Lire la suite

Vocabulaire des vieux conteurs québécois du 19e siècle lié aux éléments de la nature (Premier billet de deux)

En 1908, l’historien, archiviste et journaliste Édouard-Zotique Massicotte publie un ouvrage de plus de 300 pages comprenant 24 contes et légendes traditionnels québécois. Lire la suite

L’historien Benjamin Sulte raconte l’hiver québécois aux Français de France (second de trois billets)

Retour à ce texte d’abord publié à Paris dans la Revue du Monde latin. Nous voilà bien en hiver, Sulte a lancé le propos. Et il est heureux, il se fait vendeur.

À mesure que la neige tombe, la circulation des voitures la plombe sur les routes. Elle forme une couche ferme, où les traîneaux courent avec une facilité incroyable. Dans les champs, elle reste molle. Lire la suite