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Pourquoi partir maintenant ?

Ce sont toujours les Durbecs des sapins présents depuis le 6 novembre.

Et le mâle est à nouveau absent.

Je vous rappelle que c’est un oiseau très peu craintif qu’on aperçoit ici, mais également en Europe et en Asie.

Bien heureux, il n’est pas en perdition.

Il connaît la vie sur Terre. Même le bruit des camions et des autos passant à bonne vitesse dans le rang ne l’effraie pas et il continue de manger dans un massif de pimbina bordant la route. La vie lui appartient. Il a sans doute hérité, lui aussi, d’une bonne mémoire. Et d’une confiance donc.

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