Une pochette veinée de l’argyope aurentia, vide, est partie au vent et s’est prise dans une tige de framboisier sauvage
Ces magnifiques araignées furent nombreuses l’été dernier et déposèrent çà et là, à la mi-septembre, de ces pochettes fabriquées par elles-mêmes, dans lesquelles elles avaient pondu leurs œufs.
Et rappelez-vous cette magnifique qui, me reconnaissant après que je l’eus touchée, a trouvé refuge sur une tige de verge d’or, se croyant protégée.
Je l’aimais tellement.
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