Merci beaucoup, chère Louise. Couchée sur le toit de sa niche, elle venait de manger. Cette chatte est vraiment attachante. Elle est venue de très loin, moi ne sachant ce qu’elle a vécu de difficile, mais elle a réussi, en 18 mois, à vaincre tout ce qui la paralysait, elle a su — long cheminement — retrouver en elle ce qu’elle était vraiment. Elle qui ne parlait même plus, elle a maintenant toute une variété de miaulements. C’est une véritable héroïne. Je ne fus qu’un accompagnateur, je n’aurais pu la « ramener » moi-même.
Merci encore, chère Louise. Bien beau dimanche à Vous.
Cette chatte, vous l’avez ramenée en respectant son indépendance et sans la brusquer. Elle n’a pas fini de vous manifester sa reconnaissance et même, je dirais, son amitié. Belle réussite, cher ami.
Merci infiniment, cher Monsieur Grenier. Cette petite bête avait une force intérieure dans laquelle elle a su puiser pour revenir à elle-même.
Et j’ajouterais qu’avec ce que nous vivons en ce moment, il nous faudra, nous, revenir à la nature. Toujours nous l’avons utilisée quand bon nous semblait. Nous vivons une sorte de leçon en ce moment. Il faut vivre maintenant avec l’espérance d’un prochain grand virage, un grand et véritable rebranchement à ce que nous sommes, des êtres qui appartiennent, diable !, à la nature, qu’en respectant celle-ci, nous nous respecterons. En Europe, en ce moment, les premiers échos d’une réflexion sur l’après présente histoire disent que nous n’avons plus le choix de nous rebrancher à ce que nous sommes. Comme cette petite bête qui était tellement perdue.
Reconnaissance et confiance.
Voilà ce qu’elle veut vous dire.
Prenez soin de vous.
Belle Acadienne
Merci beaucoup, chère Louise. Couchée sur le toit de sa niche, elle venait de manger. Cette chatte est vraiment attachante. Elle est venue de très loin, moi ne sachant ce qu’elle a vécu de difficile, mais elle a réussi, en 18 mois, à vaincre tout ce qui la paralysait, elle a su — long cheminement — retrouver en elle ce qu’elle était vraiment. Elle qui ne parlait même plus, elle a maintenant toute une variété de miaulements. C’est une véritable héroïne. Je ne fus qu’un accompagnateur, je n’aurais pu la « ramener » moi-même.
Merci encore, chère Louise. Bien beau dimanche à Vous.
Cette chatte, vous l’avez ramenée en respectant son indépendance et sans la brusquer. Elle n’a pas fini de vous manifester sa reconnaissance et même, je dirais, son amitié. Belle réussite, cher ami.
Fernand Grenier
Merci infiniment, cher Monsieur Grenier. Cette petite bête avait une force intérieure dans laquelle elle a su puiser pour revenir à elle-même.
Et j’ajouterais qu’avec ce que nous vivons en ce moment, il nous faudra, nous, revenir à la nature. Toujours nous l’avons utilisée quand bon nous semblait. Nous vivons une sorte de leçon en ce moment. Il faut vivre maintenant avec l’espérance d’un prochain grand virage, un grand et véritable rebranchement à ce que nous sommes, des êtres qui appartiennent, diable !, à la nature, qu’en respectant celle-ci, nous nous respecterons. En Europe, en ce moment, les premiers échos d’une réflexion sur l’après présente histoire disent que nous n’avons plus le choix de nous rebrancher à ce que nous sommes. Comme cette petite bête qui était tellement perdue.