Anonyme
(de la fin du VIIIe siècle à la fin du XIIe siècle)
C’est bien au printemps
Qu’ils dévident leurs fils,
Les saules verdissants,
Et qu’en un beau désordre
S’ouvrent toutes les fleurs.
Anthologie de la poésie japonaise classique, traduction, préface et commentaires de G. Renondeau, Gallimard nrf, 1971, p. 105.
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