Nous voici le 1er mai
Le mois de Marie, le mois le plus beau, de dire la chanson.
Historiquement, au Québec, c’était le mois des femmes et des jeunes filles invitées à gagner l’église de la paroisse à tous les soirs.
La chanson était interprétée par un chœur d’enfants. Chant alors de circonstance. Bien sûr complètement disparu aujourd’hui.
Ou ce chant apaisant est-il encore repris quelque part ? Un copain à la radio de Radio-Canada m’avait dit, un jour, avant notre entrée en ondes : « Ah non, ne nous reviens pas avec cette histoire ».
Dans mon « pays », petits sopranos entre 9 et 11 ans, angelots que nous étions, nous aimions bien reprendre ce chant lors des concerts que nous donnions.