Cher Jean. Il y a un phénomène propre à la forêt en ce qui concerne la neige. C’est la chaleur dégagée par les arbres qui se remarque dans la photo qui illustre ton billet. La neige fond plus vite aux pieds des arbres, avec le résultat qu’un véritable gruyère se dessine au sol. Ce qui donne à la « neige des bois » son caractère singulier. Quand je vais pêcher au bien nommé Lac-des-neiges, ce « gruyère » reste parfois visible au sol plus longtemps qu’ailleurs en raison de l’altitude, avec une fraîcheur caractéristique se dégageant du sous-bois. René
Cher Jean. Il y a un phénomène propre à la forêt en ce qui concerne la neige. C’est la chaleur dégagée par les arbres qui se remarque dans la photo qui illustre ton billet. La neige fond plus vite aux pieds des arbres, avec le résultat qu’un véritable gruyère se dessine au sol. Ce qui donne à la « neige des bois » son caractère singulier. Quand je vais pêcher au bien nommé Lac-des-neiges, ce « gruyère » reste parfois visible au sol plus longtemps qu’ailleurs en raison de l’altitude, avec une fraîcheur caractéristique se dégageant du sous-bois. René
C’est donc ça, cher coureur des bois ! Merci de votre sagesse.
Ah, j’aime savoir que c’est à ce moment, qu’on arrive à bien « lire » la vie dans le cœur des arbres, chauds qu’ils sont.