Une réponse à la violence des machines
L’an passé, le 17 juin, de lourdes machines sont venues, avec leurs trois conteneurs, avaler ma grange effondrée. Jamais le terrain n’avait vécu autant de violence et il en est sorti si raboteux qu’il est aujourd’hui impossible d’y tondre la pelouse.
Et voilà que cette partie violentée répond, après plus d’un an, avec une sorte de foin rose et très doux, calme aussi, difficilement qualifiable autrement. Y marcher apaise.
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