La matière que nous écrasons sans pitié est aussi vivante, active, «responsive» que la coulée des étoiles sur nos têtes ou l’invisible frémissement du lotus sous le soleil de mai.
La genèse du surhomme, Pondichéry, Sri Aurobindo Ashram, 1971, p. 239.
Trois fois, quatre fois que je relis cette phrase et chaque fois, je reste bouche bée, sidérée… Cherchant les mots pour décrire l’effet intérieur… J’oserais ceci: une immensité qui tient dans le creux de la main… Une forte intensité qui murmure…
J’aime beaucoup Satprem, un grand sage, qui vécut à 20 ans Mauthausen et Buchenwald, deux camps de concentration, extrêmement sensible pour le reste de ses jours, et qui est décédé en 2007.
Trois fois, quatre fois que je relis cette phrase et chaque fois, je reste bouche bée, sidérée… Cherchant les mots pour décrire l’effet intérieur… J’oserais ceci: une immensité qui tient dans le creux de la main… Une forte intensité qui murmure…
J’aime beaucoup Satprem, un grand sage, qui vécut à 20 ans Mauthausen et Buchenwald, deux camps de concentration, extrêmement sensible pour le reste de ses jours, et qui est décédé en 2007.