Voilà bien deux mois que j’avais vu ou entendu un Geai bleu chez moi
Par Jean Provencher le 9 août 2014
Et, aujourd’hui, en voici un premier, surprenant, un jeune de l’année, qui se présente, avec force cris, la tête sans plumes, donc sans la huppe de l’adulte.
Un juvénile! Quelle chance! J’ai des geais bleu en quantité chez moi, hiver comme été. Mais je n’ai jamais eu la chance de tomber sur un « tout-petit »!
Il est bien étrange, chère Vous, n’est-ce pas. À quelques reprises, à ce temps-ci de l’année, j’ai déjà eu des juvéniles, avec la tête emplumée, mais sans la huppe. Mais c’est vraiment la première fois que j’accueille un Geai bleu à la tête complètement sans plumes. Vous avez raison, il tient du «tout-petit».
Rare que j’ai pu observer des juvéniles ! Mais en rentrant de vacances dernièrement, toute une surprise ! Un bébé corneille mort, au milieu de ma cour arrière, le cou cassé, les yeux crevés ! Beu !!!!
Surtout depuis que Gabrielle Roy m’a appris à aimer les corneilles avec son Jeannot dans » Cet été qui chantait » qu’il faut lire, relire et re…. re… !!!
Ce matin un geai bleu sans huppe donc un juvénile si j’ai bien compris est venu manger près de ma porte patio dans la mangeoire suspendue dans un arbre
Comme je trouve cela rassurant de savoir qu’il s’agit de juvéniles! L’an passé, j’en avais vu un avec une petite tête sans huppe et comme je pensais qu’il s’agissait d’une malformation, je craignais qu’il ne passe pas au travers de l’hiver. Et cette année, ils sont deux ou trois avec la même particularité. Ce ne serait donc pas un défaut génétique. Cette nouvelle est doublement rassurante, car je peux ausi conclure que ces beaux oiseaux se multiplient. ☺️
Vous avez bien raison. Dans mon cas, il y en a un qui se promène et je n’arrive pas à lui fixer la binette. Il faut croire que le mois d’août est consacré aux jeunes Geais bleus.
Un juvénile! Quelle chance! J’ai des geais bleu en quantité chez moi, hiver comme été. Mais je n’ai jamais eu la chance de tomber sur un « tout-petit »!
Il est bien étrange, chère Vous, n’est-ce pas. À quelques reprises, à ce temps-ci de l’année, j’ai déjà eu des juvéniles, avec la tête emplumée, mais sans la huppe. Mais c’est vraiment la première fois que j’accueille un Geai bleu à la tête complètement sans plumes. Vous avez raison, il tient du «tout-petit».
Rare que j’ai pu observer des juvéniles ! Mais en rentrant de vacances dernièrement, toute une surprise ! Un bébé corneille mort, au milieu de ma cour arrière, le cou cassé, les yeux crevés ! Beu !!!!
Fort étrange, chère Ode, cette histoire. Et une vision difficile à supporter.
Surtout depuis que Gabrielle Roy m’a appris à aimer les corneilles avec son Jeannot dans » Cet été qui chantait » qu’il faut lire, relire et re…. re… !!!
Ce matin un geai bleu sans huppe donc un juvénile si j’ai bien compris est venu manger près de ma porte patio dans la mangeoire suspendue dans un arbre
Sans huppe ? En effet, c’est bien un jeune, un né d’il y a quelques semaines.
Il est en mue. Voilà pourquoi il a perdu ses plumes sur la tête.
Oui, j’allais spécifier aussi, comme Stéphane, c’est un phénoméne de mue !
https://www.naturesauvage.ca/almanach/2018/07/mue-et-bain-de-fourmis/
Comme je trouve cela rassurant de savoir qu’il s’agit de juvéniles! L’an passé, j’en avais vu un avec une petite tête sans huppe et comme je pensais qu’il s’agissait d’une malformation, je craignais qu’il ne passe pas au travers de l’hiver. Et cette année, ils sont deux ou trois avec la même particularité. Ce ne serait donc pas un défaut génétique. Cette nouvelle est doublement rassurante, car je peux ausi conclure que ces beaux oiseaux se multiplient. ☺️
Geneviève, Lévis
Vous avez bien raison. Dans mon cas, il y en a un qui se promène et je n’arrive pas à lui fixer la binette. Il faut croire que le mois d’août est consacré aux jeunes Geais bleus.