Nos artisans d’art populaire
Le Québec fourmille d’artisans, se livrant à l’art populaire. Sculpteurs, bricoleurs, modélistes, peintres, tisserands ou autres, ils nous sont souvent inconnus et ne travaillent pas d’ailleurs pour la gloire.
Ils savent aussi depuis longtemps que leurs critères de beauté ne sont pas nécessairement ceux de leur voisin, n’ayant nulle envie de participer à quelque débat sur le sujet. Bien simplement, ils aiment ce qu’ils font. Et s’il nous était donné de pouvoir assembler une grande partie de leurs créations, nous serions d’abord étonnés de la variété de leur production.
Je fréquente surtout les sculpteurs sur bois. Des gens simples, sans prétention, souvent fort calmes. Beaucoup sont amants de la nature. Certains ont appris de leurs parents ou grands-parents. D’autres y vinrent sur le tard. Ils répondent souvent qu’ils se livrent à la sculpture pour passer le temps. Attentifs, fins observateurs, ils peuvent faire naître des animaux de la ferme ou des bois. Des chevaux — ils aiment beaucoup les chevaux — et des oiseaux.
Au fil des mois, j’aimerais faire connaître quelques-uns d’entre eux et leur production. En particulier, en échappant une de leurs œuvres à chaque fois que le moment s’y prête. J’aime beaucoup leur compagnie et rien ne me réjouit davantage que d’avoir à mon horaire la rencontre prochaine d’un de ces sculpteurs.
À ce jour, cet art québécois n’a pas fait l’objet de beaucoup d’études, non plus que de publications. Je vous recommanderais deux titres pour l’instant :
Jean Simard, Bernard Genest, Francine Labonté et René Bouchard, Pour passer le temps. Artistes populaires du Québec, Publications du Québec, 1985, 186 pages.
Adrien Levasseur, Sculpteurs en art populaire au Québec, Éditions GID, 2008, 244 pages.
L’artisan ci-haut est René Dandurand, de Valleyfield, un ami.
J’ai eu le plaisir de vous rencontrer au Symposium ,a la maison O’Neil sur le boulevard Hamel Vous m’avez fait un Honneur et un grand plaisir aveclachat d’une de mes pieces, pas la plus grosse mais qui contient autant de coeur et de bonne volonté quimporte la grosseur.Je fais beaucoup d’oiseaux et d’animaux qui du moins j’essaie de rendre réaliste aussi vivant possible paece que je crois qu’ils ont une vie a eux et ce jusqu’a ce quils soient détruis par hasard ou par un incendie , et leur p^résence egaie les expos les marches aux puces pour le plaisir des regards…. a bientot votr ami Christian Levesque
Amicales salutations, monsieur Lévesque. Votre Pluvier kildir va très bien. Et, par bonheur, il ne s’est pas mis encore à chanter en pleine nuit.
Bonjour Monsieur Provencher,
Félicitations!
Je suis très heureuse de voir et lire votre travail en ligne. Je vous ai entendu en conférence dans le «grenier» de la maison Tessier-Laplante à Courville. Il y a un bail de cela. J’ai retenu votre ténacité et j’ai pris goût à l’histoire. Je fais partie de 2 sociétés d’histoire et je confectionne des ceintures fléchées. J’ai commencé ça en 1973. J’ai arrêté pour «élever ma famille». Et j’ai repris l’an dernier.
Connaissez-vous l’école des Vieux-Métiers de Longueuil. J’y ai pris un cours de rafraîchissement en fléché avec Madame Marie-Berthe Lanoix co-auteur du livre sur l’histoire de la ceinture fléchée dite de l’Assomption. (Septentrion)
Je n’ai pas trouvé l’icone de facebook sur votre blogue, mais j’ai placé la référence à votre bloque sur ma page Facebook.
Diable, chère Monique Picard, je ne me souviens plus de cette rencontre dans le grenier de la maison Tessier-Laplante, je m’en excuse.
Je connais l’école des Vieux-Métiers de Longueuil, une œuvre bien indispensable, une bien belle manière de ne pas perdre la mémoire.
Dans le petit rectangle, sur cette page, en haut, à droite, sous Abonnement RSS, vous verrez qu’il y a plusieurs moyens de partager, dont Facebook. Mais, moi-même, je ne suis pas sur Facebook.