J’ai parlé beaucoup, et calmement, à ce quatrième raton laveur. Il n’était pas du tout terrifié. Voyez son visage. Il semblait me faire confiance.
C’est probablement de très jeunes, comme lui, qu’on peut arriver à domestiquer, me disait mon ami Fernando, en m’arrêtant chez lui, sur la route de retour.
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Je l’avoue, j’aurais bien du mal à résister à une de ces petites bêtes si elle se mettait à faire des 8 autour de mes chevilles pour avoir à manger. Ce tout p’tit est absolument adorable.
En le comparant aux trois précédents — deux adultes et un adolescent —c’était étonnant de la voir sage, sans aucune envie de crier.