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Et la Cténuche de Virginie qui n’a aucune crainte. Elle connaît sans doute cet endroit depuis au moins 1976.

Elle aime vraiment ce lieu ! Elle aimait même les enfants au tout début.

C’est un papillon aimant autant le jour que la nuit.

Ah, merveilleux ! L’Épilobe à feuilles étroites est en fleur ! Et, immédiatement, la Cténuche de Virginie accourt la rencontrer.

La cténuche semble tellement heureuse ! La vie appartient à l’une et à l’autre.

Dans l’hémisphère nord, c’est la première plante à surgir après les grands feux de forêt. Et cette plante sauvage chez moi remonte peut-être à un grand feu qu’il y eut en 1948, qui a couru de Val-Alain jusqu’au premier rang de Sainte-Anastasie. Mon rang a passé proche d’y passer. La cténuche est heureuse et ne sait pas pourquoi cette plante est là, la gamine.

Ce petit oiseau dans un bouleau semble très concentré.

Qui est-il ? Dès que j’ai une minute, je fouille dans mes livres.

L’une de mes deux corneilles.

Le Carouge à épaulettes.

La jeune Sittelle à poitrine blanche de l’année.

Le nombre de fleurs d’hémérocalle hier était de 184.

Il y a deux jeunes Pics mineurs de l’année qui viennent d’apparaître, hier. Voici l’un d’eux.

Ô ! Qu’ont-ils aperçu soudain ?