Le grand bonheur de l’histoire qui crie
Je rentre de «Saint-Wen», avec tellement la joie au cœur. Je partais chercher ma belle grand-mère acadienne, Rose Breault. Qui vivait déjà l’affolement à 13 ans et demi. Cette histoire d’incendie en septembre 1895 m’avait complètement viré à l’envers. Je voulais m’approcher encore plus près d’elle, que même mon père n’a jamais connue.
Je vous renvoie à cet article du 3 octobre : https://jeanprovencher.com/2012/10/03/de-grands-incendies/. Je viens d’y rajouter une suite tout en bas, avec images. Un jour, chères et chers amours, je vous proposerai un film sur cette histoire. Si j’ai une caméra, et les moyens d’abord de m’en procurer une.
La photo ci-haut est celle de d’Henri-Paul Breault. Et celle ci-bas également. Comment appelle-t-on, diable, la personne qui a le même arrière-grand-père que soi ? Et dont le grand-père, Joseph, est le frère de ma grand-mère ?
Trackbacks & Pingbacks