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Un jeune Chardonneret jaune mâle.

Aujourd’hui dimanche, nous reprenons les Routes enchantées, à CKRL-MF, le 89, 1, de 14 heures à 16 heures.

Mon camarade Clément Duhamel et moi-même, nous vous proposerons deux heures de grand voyage ! Nous aurons, par exemple, la suite de l’émission de Guy Mauffette, Le cabaret du soir qui penche, qui fut à l’antenne des dimanches soirs à la radio de Radio-Canada, de 1960 à 1973. Un extrait d’une pièce d’archives. Une merveilleuse chanson aussi de Marcel Mouloudji. Et tout plein d’autres choses pour du temps reposant. La vie est tellement courte.

Donc deux heures exceptionnelles, chère-cher vous autres.

Et où que vous êtes, vous pouvez nous prendre.

Dans la région de Québec avec votre appareil-radio. Vous êtes ailleurs, pas de problème, gagnez alors le site internet de notre radio communautaire [http://www.ckrl.qc.ca/]. Voyez tout en haut à droite « Écoute en direct ». Et le tour est joué.

Et, où que vous soyez dans le monde, vous pouvez également être avec nous par l’intermédiaire du site Radio Garden qui offre un grand nombre de radios du monde. En voici l’adresse : https://radio.garden/listen/ckrl/4desWfxM

Nous programmerons Radio Garden pour que vous puissiez facilement accéder à CKRL, au nord-est de l’Amérique du Nord, le long du fleuve Saint-Laurent. Vous pouvez vérifier dès maintenant la mise en ligne. Montez le son de votre ordinateur, cliquez sur cette adresse de Radio Garden, et vous êtes à CKRL, à Québec.

Si jamais vous êtes retenu-e ailleurs, l’émission sera disponible en balado sur le site de CKRL, pendant quelque deux ou trois semaines.

Un jeune colibri mâle.

Des couleurs sous la pluie.

Et la verge d’or qui se marie avec l’épilobe à feuilles étroites. Un bien beau couple.

En voilà un qui mange et surveille.

Lui aussi est dans son monde. Et tout le monde veut sa peau. Voyez la blessure qu’il a eue à la cuisse. Mais, ici, il est plus confiant et aime assurément l’endroit. Il ne me regarde même pas.

Voilà la fleur de l’Épilobe à feuilles étroites.

Cette plante, la première à reparaître après un grand incendie de forêt, est prête à tout pour ne pas être oubliée. Elle est si peu connue que même les petites gens ne lui ont pas donné de nom vernaculaire autrement que bouquets rouges. Le botaniste et ethnologue Camille Rousseau (Histoire, habitat et distribution de 220 plantes introduites au Québec, Naturaliste canadien, 95, 1968, p. 205) l’appelle herbe-à-feu. Sa fleur dure en juillet et en août.

Revoilà la Paruline à joues grises.

Elle aime les herbes hautes. Comme toutes les parulines, elle est toute petite.

La beauté des Impatientes du Cap.

Le Tamia rayé.

Le jeune Quiscale bronzé est très attentif à ce qui se passe autour de lui. Un nouveau monde pour lui.

J’aime tant le voir découvrir un monde. Il semble comblé. La Terre, notre monde, est un univers bien riche.