C’est formidable, Ju/Ju, de constater que ta patte ne te fait plus souffrir. Tu m’épates, beauté féline. Si jamais tu décides de te lancer dans la consultation pour les humains dont les genoux sont douloureux, fais-le moi savoir. Je te confierai volontiers les miens. En attendant, accepte toute mon admiration et un gros câlin sur ton épais manteau.
C’est formidable, Ju/Ju, de constater que ta patte ne te fait plus souffrir. Tu m’épates, beauté féline. Si jamais tu décides de te lancer dans la consultation pour les humains dont les genoux sont douloureux, fais-le moi savoir. Je te confierai volontiers les miens. En attendant, accepte toute mon admiration et un gros câlin sur ton épais manteau.