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Avez-vous vu passer ce livre paru l’année dernière en français ?

L’art d’habiter la terre, du journaliste, essayiste et chercheur indépendant américain Kirkpatrick Sale.

Paru aux Éditions Wildproject, en France, en 2020.

Vous avez simplement un jardin, une terre, un coin du monde, depuis un moment que vous y êtes maintenant attaché. C’est pour vous.

Nous allons y revenir. Mais d’abord simplement un extrait des premiers mots de l’auteur à l’édition française.

Selon lui, on vit alors ce sentiment profond et silencieux de bien-être intérieur qui provient de la connaissance d’un lieu particulier de la Terre, ses rythmes journaliers et annuels, sa faune et sa flore, son histoire et sa culture ; un endroit précis duquel l’âme donne des signes d’affection et de reconnaissance. Disons, en suivant l’intuition de René Dubos, que c’est un sentiment si pleinement universel et un des éléments de l’expérience humaine de la vie depuis si longtemps qu’il semble être inscrit dans nos patrimoines génétiques eux-mêmes.

O la la ! j’aime beaucoup. Cet aller-retour entre ce milieu et nous. L’auteur met en mots ce que nous vivons alors. Il approche vraiment ce que nous cherchons à exprimer depuis un moment. L’enracinement, la prise au sol, la vie (la vraie, la naturelle) entre ce milieu et nous.

Nous y reviendrons, c’est certain, avec d’autres extraits.

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