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Le pimbina de l’an passé !

Les magnifiques Durbecs des sapins, présents pendant un mois en novembre et décembre, n’ont donc pas vidé leur assiette.

Depuis ma tendre enfance, j’ai toujours été durbec, je n’ai à peu près jamais vidé mes assiettes. Et je continue de penser qu’il faut laisser à l’appétit un petit coin où il doit vivre, doucement s’aiguiser pour en venir à la prochaine fois.

Et ça empêche le corps humain d’être rebondi.

Je continue de croire qu’il ne faut toujours pas manger à sa faim.

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