Masquées-masqués comme nous sommes, il faut s’en remettre aux yeux
Comme partout dans la nature, nous sommes des bêtes à visage. Mais voilà que les masques banalisent tous nos faciès.
À causer avec une personne, nous n’avons plus qu’un refuge : les yeux. Et voilà que nous les découvrons, les yeux. Et parfois la personne elle-même. Ce qu’elle est belle soudain.
Jamais les yeux ne nous ont tant parlé.