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Les jours de grands froids, il faut chauffer

Et on a à l’œil sa provision de bois de chauffage si les chemins sont mauvais.

À Nicolet, quasi en  face de Trois-Rivières sur le Saint-Laurent, on en est bien conscient.

En raison des mauvais chemins, à cause du manque de neige, le bois de chauffage est assez rare ici, et les cultivateurs qui se donnent la peine d’en offrir à nos citadins par les temps qui courent, en obtiennent un très bon prix.

 

La Presse (Montréal),  13 janvier 1900.

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