Et puis, tiens, comparons les 4 avril sur ma rue
Celui d’aujourd’hui d’abord, puis celui de l’an passé.
La tempête ou la schnoute. Lire la suite
4 Avr
Celui d’aujourd’hui d’abord, puis celui de l’an passé.
La tempête ou la schnoute. Lire la suite
Apercevant, avant d’entrer, ces « grenailles » au sol qui tiennent de petits œufs de Pâques bruns, il échappe que cela viendrait du passage des Dindons sauvages. Lire la suite
Non par bourrées, mais un à un. Hier, le Bruant chanteur était là pour la première fois. L’un de son espèce s’était montré le 10 janvier, mais fut simplement de passage. Lire la suite
4 Avr
Le Quiscale bronzé (Quiscalus quiscula, Common Grackle). Fort intelligent. Lire la suite
Dites, de toutes les femmes qui vous ont balancé un jour, avez-vous votre « Fiancée éternelle », comme celle de Marianne pour Gabriel Fauré, cette « châtelaine en sa tour », ou Régine pour Kierkegaard ?
Sinon, plutôt que la mélancolie du souvenir, n’espérez-vous pas maintenant, comme Fauré, la plénitude de la joie et du renouvellement, cette « piscine d’espérance, douces promesses du matin » ?
Texte vite venu de la lecture de Vladimir Jankélévitch, Gabriel Fauré, Ses mélodies, Son esthétique (Paris, Plon, 1938).
Ceux-ci, assure-t-on, seraient les dépositaires d’un connu, d’une sagesse venue d’un long vécu.
Ici, l’événement se passe à Québec. Nous sommes le 4 avril.
Ce matin, nous avons entendu pour la première fois de la saison la grande voix du tonnerre; des éclairs ont aussi sillonné les nues pendant quelques instants.
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