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La plénitude de la joie

Dites, de toutes les femmes qui vous ont balancé un jour, avez-vous votre « Fiancée éternelle », comme celle de Marianne pour Gabriel Fauré, cette « châtelaine en sa tour », ou Régine pour Kierkegaard ?

Sinon, plutôt que la mélancolie du souvenir, n’espérez-vous pas maintenant, comme Fauré, la plénitude de la joie et du renouvellement, cette « piscine d’espérance, douces promesses du matin » ?

Texte vite venu de la lecture de Vladimir Jankélévitch, Gabriel Fauré, Ses mélodies, Son esthétique (Paris, Plon, 1938).

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