À chaque fois qu’un phénomène météorologique inhabituel survient, on aime croire que les anciens savent l’interpréter avec justesse
Ceux-ci, assure-t-on, seraient les dépositaires d’un connu, d’une sagesse venue d’un long vécu.
Ici, l’événement se passe à Québec. Nous sommes le 4 avril.
Ce matin, nous avons entendu pour la première fois de la saison la grande voix du tonnerre; des éclairs ont aussi sillonné les nues pendant quelques instants.
Les vieux disent que nous allons avoir un changement de température.
Le Canadien (Québec), 4 avril 1882.
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