L’obscurité d’un soir d’automne
Certains se vivent quasiment dans la noirceur.
Tout le monde se plaint de l’obscurité de nos rues, qui deviennent réellement dangereuses par ces sombres et brumeux soirs d’automne, mais personne ne semble se douter qu’avec un peu de bonne volonté nous pourrions, à l’instar d’autres localités, nous payer le luxe d’un peu de lumière.
Avis à nos édiles !
L’Écho des Bois-Francs (Arthabaska), 20 octobre 1894.
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