Jean Giono préférait de beaucoup la campagne à la ville
Même Paris ne semblait lui plaire. Il trouvait son bonheur dans son pays rural. Dans son livre Solitude de la pitié (1932), il y va de portraits, dirais-je, de courtes nouvelles. Et il le termine avec Le chant du monde. Extrait.
Il y a bien longtemps que je désire un roman dans lequel on entendrait chanter le monde. Dans tous les livres actuels, on donne à mon avis une trop grande place aux êtres mesquins et l’on néglige de nous faire percevoir le halètement des beaux habitants de l’univers. Lire la suite