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En 1900, la région de Québec vit quelques drames, mais la vie est tout de même agréable

On dit que la chanson magnifique, Un Canadien errant, d’Antoine Gérin-Lajoie, chantée pour la première fois en 1842, est maintenant connue de tous.

On prédit un succès fou durant l’été à la compagnie de tramway électrique, qui mènera les fidèles du cœur de la ville de Québec jusqu’à la basilique Sainte-Anne-de-Beaupré. « Ce sera la promenade favorite. On voudra y retourner plusieurs fois. »

Mais l’Académie de musique, aussi appelé le Music Hall, rue Saint-Denis, le grand théâtre de Québec, brûle. Pour le remplacer, on construira l’Auditorium, le théâtre Capitole, ouvert en 1903 à place d’Youville.

À Lévis, un manège fait son apparition sur le terrain de la Halle Notre-Dame, et il faut voir, dit-on, « la jeunesse des deux sexes s’en donner à cœur joie, le soir, sur les petits chevaux, au son d’une musique vive et entraînante donnée par un nègre automate ».

Pour la fin du vieux siècle ou le début du nouveau, que désirer davantage !

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