Dans la série «Les cartables des temps d’hier» (2)
Histoire que vous vous fassiez à cette nouvelle série, si bien sûr le cœur vous en dit, voici une autre approche :
Le fait que la vie du monde végétal dépend du cours des saisons et celle des campagnards de celle du monde végétal a pour conséquence que les campagnards ont moins à travailler l’hiver que pendant le printemps et l’été. P. 182
Tous les hommes, sur la terre, vivent dans une dépendance très strictement déterminée de la succession des jours et des saisons. Notre organisme d’«hominidés» est engagé dans le rythme cosmique des jours et des années de telle manière qu’il ne peut pas s’en dégager. Nous ne nous en apercevons pas en tant que fait conscient (et c’est peut-être heureux), mais il ne faut pas en conclure que cette périodicité que nous subissons est sans importance pour la pratique de la vie. P. 183
Hellpach, Géopsyché.